C’est sur la base de retours d’expérience de 4 pays - Afrique du sud, Canada, Colombie et Malaisie – mais également d’ateliers de travail et d’échanges avec les experts internationaux dont certains sont à l’origine du concept, et d’experts du Comité français de l’UICN, que ces documents ont été élaborés, dans l’objectif de proposer des pistes pour leur déclinaison dans le contexte français.
Ces travaux ont été soutenus financièrement par le Ministère de la transition écologique et l’Office français de la biodiversité.